24.1.11

Haïku

Brûlée, ma chance,
Dans les bras de l'impatience
Comme un saint clown en fuite.

4 commentaires:

  1. idem pour moi!
    Sauf que mon clown demeure cloué dans l'enclos qui l'a vu naître...
    Bonne semaine lumineuse et chaleureuse!

    RépondreSupprimer
  2. Pas moins maudits que les poètes, ces foutus clown. Bien la peine de mettre un nez rouge, pour faire rire. ;)

    RépondreSupprimer
  3. Brûlé par chance
    Dans les ébats de la patience
    Comme un cyclone en huit

    RépondreSupprimer
  4. Agréable cette idée des ébats infinis ;) Merci de ton passage !

    RépondreSupprimer