31.3.16

Carnet du Souterrain

Ce silence féminin, je le connais par top bien. Ce silence qui refuse de blesser — une personne qu'on estime assez pour la respecter, mais pas assez pour laisser ses bras vous entraîner. Qui leur a donc fait croire que je ne suis pas de ceux qui ôtent le pansement d'un coup vif ?
Mes histoires d'amour , je les ai toujours vécues seul ; sans aucune réciprocité. 
Avec l'air triste d'un tableau de Dürer. La mine défaite. Leur écrivant des poèmes qu'elles ne liraient jamais.
(extrait d'un travail embryonnaire)

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